Jacques de MOLAY OSMTH FRANCE

Les Maîtres de l'Ordre du Temple (De 1119 à 1314)

HUGUES DE PAYNS - 1119/1136
Fondateur et premier Maître du Temple, les origines d’Hugues de Payns sont encore fort controversées. Ce noble chevalier champenois apparaît pour la première fois dans un simple document signalé par Guillaume de Tyr. L’écrit concerne une donation faite aux Vénitiens par le roi Baudouin II. Venu en France solliciter des secours, Hugues reçoit dès 1127 les dons de divers seigneurs ou personnalités régnantes. A la suite du Concile de Troyes, il sillonne le territoire français, notamment le Sud-Ouest pour présider à l'édification de plusieurs préceptories. Le dernier acte où figure Hugues de Payns est daté de 1133-1134. Il émane de l'évêque de Soissons et concerne la préceptorie de Mont-de-Soissons. Il meurt, d'après les Chroniques, le 24 Mai 1136. On lui attribue les couleurs de l'Ordre "d'argent au chef de sable".
 
ROBERT de CRAON dit Le Bourguignon - 1136/1147
Au mois de juin 1136, un acte passé en faveur de la préceptorie de Richerenches cite Robert de Craon comme Maître de l'Ordre. Les documents concernant le second Maître sont beaucoup plus complets et rapprochés. Il est le véritable législateur du Temple et donne à l'Ordre sa forme qui ne cessera d'évoluer. Il fut un administrateur de premier plan et un juriste éclairé. Sous son magistère, le pape Innocent II accorde au Temple des droits et des privilèges importants ainsi que le droit de porter la croix "de gueules" sur le coeur. Il sera le premier Maître à établir des relations secrètes avec les Sarrasins. Mentionné pour la dernière fois en 1146 à l'occasion d'une donation faite en Navarre, l'obituaire de Reims signale sa mort le jour des ides de Janvier, soit le 13 de l'année 1147.
EVRARD de BARRES - 1147/1151
«Le Maître du Temple, Evrard des Barres, est un homme respectable par son caractère religieux, et un modèle de valeur pour les chevaliers.» Elu Maître de l'Ordre alors qu'il était encore Précepteur du Temple en France, il apparaît avec ce titre, pour la première fois, dans une donation d'Archier de Paris, comprenant un moulin situé sous le Grand-Pont de la Seine. Le 14 mai 1150, il tient un chapitre général à Paris, puis participe avec Louis VII à la seconde croisade. A son retour de Terre Sainte, il se démet de ses fonctions et se retire comme moine à l'Abbaye de Clairvaux, où il meurt suivant le ménologue de l'abbaye le 25 Novembre 1174.
BERNARD DE TREMBLAY - 1151/1153
Né au château de Dramelay (Jura), il est précepteur du Temple de Falletans, près de Dôle en Franche-Comté. Suivant les Chroniqueurs des Croisades en Palestine, il aurait rebâti et fortifié la ville de Gaza dont les Templiers firent leur base d'attaque contre les Sarrasins. Il est tué au combat avec tous ses chevaliers lors du siège d'Ascalon le 14 août 1153. L'obituaire de Reims signale sa mort le 17 des calendes de septembre, soit le 16 août. Cela correspond aux dates des Chroniques, car Ascalon tombe aux mains de Baudouin III, le 19 Août de cette même année.
ANDRE de MONTBARD - 1154/1156
Oncle de Saint Bernard, il est, selon les cartulaires du Saint-Sépulcre et de Saint-Lazare, Sénéchal de l'Ordre de 1148 à 1151. Il figure pour la première fois comme Maître du Temple le 27 mai 1155 dans un acte de Baudouin III et dans un acte identique daté du 27 juin 1155 concernant une confirmation d'échange avec la reine Mélissande. Renommé et aimé, il porte aussi le titre de Comte d'Ascalon. L'obituaire de Bonlieu date sa mort du 17 Octobre 1156.
BERTRAND de BLANQUEFORT - 1156/1169
Originaire de Guyenne, Bertrand de Blanquefort est mentionné pour la première fois le 2 septembre 1156 lorsqu'il souscrit au traité de paix du roi Baudouin IV avec les Pisans. Le 19 juin 1157, il est fait prisonnier avec plusieurs barons et seigneurs par Nourréddin à la bataille du Lac Méron. Incarcéré durant trois ans, il n’est libéré que contre une forte rançon versée par le prince Manuel Commène. Bertrand de Blanquefort était un homme d’esprit éclairé, d’un jugement sain. Il laissa la réputation d’un religieux édifiant et d’un habile capitaine. L'obituaire de Reims fixe sa mort au III des nones de Janvier, soit le 2 Janvier 1169.
PHILIPPE de MILLY (ou de NAPLOUSE) - 1169/1170
Originaire d'une famille picarde établie en Syrie, il acquiert la seigneurie de Naplouse en Terre Sainte qu'il échange contre celle de Montréal avec le roi Baudouin III. Entré assez tardivement dans l'Ordre, il est élu Maître après la mort de Bertrand de Blanquefort. Son magistère ne dure que trois ans. Nul ne sait ce qu'il advint de lui.
EUDES de SAINT AMAND (ou ODON de SAINT-CHAMAND) - 1170/1180
De souche limousine, il est maréchal du Royaume avant de devenir vicomte de Jérusalem. Capturé par les infidèles au combat du gué de Jacob, il meurt dans les fers après quelques mois de captivité. Nous lui devons cette réplique à la proposition de liberté de Saladin : "Un Templier doit vaincre ou mourir et ne peut donner pour sa rançon que son poignard ou sa ceinture".
ARNAUD de la TOUR ROUGE (ou de TOROGE) - ?/1184
Il est difficile de dater l'élection de ce Maître du Temple. Il est encore Maître en Provence et en Espagne le 26 Novembre 1180, dans un acte où il accorde aux habitants de Miravete le privilège de ne pas payer les péages ni les usages par mer et par terre. D'après Guillaume de Tyr, il est élu à la tête de l'Ordre en 1181 sans préciser le mois. Voyageur confirmé, avant d’être élu Grand Maître, il occupe les premiers emplois de l'Ordre "en deçà des mers". Devant la situation désastreuse en Terre Sainte, le Patriarche Héraclius ainsi que les Maîtres du Temple et de l’Hôpital reviennent en Europe pour solliciter une assistance. Lors de ce voyage, Arnaud de la Tour meurt à Vérone, le 30 Septembre 1184.
JEAN de TERRIC - 1184/1188
Après avoir échappé avec deux de ses chevaliers à la défaite de Nazareth, ce Maître est fait prisonnier à la bataille de Tibériade en 1187. Il prête serment à Saladin de ne point porter les armes contre lui, puis abdique de ses fonctions au sein de l'Ordre. Nommé Grand Précepteur, la postérité retient de lui deux lettres où il exhorte ses frères d’Outre-Mer et le Roi d’Angleterre à venir au secours des Chrétiens de Palestine.
GERARD de RIDEFORT - 1188/1189
Originaire des Flandres, il assiste à la mort du Maréchal du Temple, lors de la bataille d'Acre, entre les troupes de Saladin et celles de Guy de Lusignan. Au début de l'année 1188, il adresse une lettre au Roi d'Angleterre pour lui annoncer la prise de Jérusalem par les Musulmans et le siège de Tyr. A la suite du désastre de Hattin, il est fait prisonnier puis gracié avec une facilité qui laisse supposer qu'il avait des relations avec les Infidèles. Vaniteux et téméraire, il périt devant les murs de Saint-Jean d'Acre, «heureux, dit un contemporain, de terminer tant de beaux exploits par une mort aussi glorieuse ». La maîtrise de Gérard de Ridefort fut un désastre pour l'Ordre du Temple. Il est à l'origine des premiers reproches adressés aux frères. Après sa mort, le Chapitre Général réforma certains points de la Règle touchant principalement aux mesures disciplinaires à prendre quand le Maître manque à son sens moral et à sa responsabilité.
ROBERT de SABLE (ou de SABLOIL) - 1189/1193
La Chronique fixe l'élection de Robert de Sablé à la tête de l'Ordre du Temple au début de l'année 1190, devant la ville d'Acre. On le retrouve en 1192, en qualité de témoin de la donation faite par Guy de Lusignan à l'Hôpital de Notre-Dame des Allemands à Acre. Ami de Richard Coeur de Lion, il commande la flotte qui amène le Roi d'Angleterre en Palestine. Il contribue puissamment au succès de la bataille d'Arsur puis achète l'île de Chypre au Roi Richard pour 25.000 marcs d'argent. Il meurt le 13 Janvier 1193, selon l'obituaire de Reims.
GILBERT ARAIL (ou HORAL) - 1193/1206
Grand Commandeur de l'Ordre en France, il est élu Maître du Temple au mois de Février 1193. Le 8 Décembre 1198, le Maître scelle un accord entre les Hospitaliers de Saint Jean et les Templiers au sujet de différents griefs concernant des biens qu'ils possèdent dans le comté de Tripoli. Son magistère s'effectue durant la trêve conclue entre le Roi d'Angleterre et Saladin. D'ailleurs, ce furent les premiers reproches de "trêves et d'accords secrets" passés entre les Templiers et les Sarrasins. L'obituaire de Reims mentionne sa mort le 20 Septembre 1200.
PHILIPPE du PLASSIEZ (ou du PLAISSIS) - 1201/1209
Issu d'une famille illustre d'Anjou, il est élu l’année où le Roi d’Arménie enlève aux Templiers le fort Gaston situé dans la principauté d'Antioche. Le Maître fit déployer le Beaucéant (l'étendart de l'Ordre) pour obliger ce prince à restituer la place. L'obituaire de Reims fixe sa mort au II des ides de Novembre.
GUILLAUME de CHARTRES - 1210/1218
Fils de Milon III, Comte de Bar-sur-Seine, son élection a lieu à la préceptorie de Sours, en pays chartrain. En 1211, il arbitre un conflit entre les Templiers et le Roi d'Arménie au sujet du château de Gastein. Couronnée par la construction du Château Pèlerin en 1218, sa vie se termina le dimanche 26 Août 1218 au siège de Damiette où il avait d'ailleurs retrouvé son père.
PIERRE de MONTAIGU - 1219/1232
Maître en Espagne et en Provence, il est issu d’une famille noble du royaume de Valence. Elu Maître devant Damiette, sa bravoure et son habileté sont exemplaires dans tous les combats. Malgré tout, il se heurte à maintes reprises aux belligérants de la seconde croisade. Après un long magistère, Pierre de Montaigu meurt en 1232.
ARMAND de PERIGORD - 1232/1244
Originaire de l'ancienne maison des Comtes de Périgord, il est précepteur du Temple en Sicile et en Calabre avant son élection. Le 17 Octobre 1244, c’est le désastre de Forbie, près de Gaza. Les pertes de l'armée franque sont très importantes. D'après le patriarche lui-même, le Temple perd à lui seul plus de trois cent douze chevaliers sur trois cent quarante-huit. Lors de la seconde de ces deux sanglantes journées, le Maître est blessé et meurt peu de temps après. Certaines listes chronologiques des Maîtres du Temple donnent Richard de Bures comme successeur d'Armand de Périgord. Or, Richard de Bures était châtelain de Chatel Blanc lorsqu'il fut élu Grand Commandeur de l'Ordre. Il ne fut jamais Maître de l'Ordre.
GUILLAUME de SONNAC - 1245/1250
Précepteur d'Auzon, près de Châtellerault, Guillaume de Sonnac apparaît au début de l'année 1245 dans un acte concernant l'Ordre de Saint-Thomas d'Acre. Elu à la maitrise de l'Ordre, il se distingue au siège de Damiette. «Le Maître du Temple et le Soldan d’Egypte avaient fait si bonne paix ensemble qu’ils s’étaient fait saigner tous les deux dans la même écuelle.» En 1250, Saint-Louis lui confie l'avant-garde de son armée. Puis vient la déroute de Mansourah où le Maître perd un oeil. Il meurt le 3 Février 1250.
RENAUD de VICHIER - 1250/1252
Avant d'être élu Maître du Temple, Renaud de Vichier est commandeur du Temple dans la ville d'Acre en 1240, puis Maître du Temple en France où nous le retrouvons dès le 19 Août 1246. Devenu Maréchal de l'Ordre, il assiste à la bataille de Mansourah et verse la rançon nécessaire à la libération de Saint-Louis prisonnier en Egypte. Mais à la suite d’un accord signé avec un amiral damasquin, il s’attire la colère du Roi qui humilie publiquement les Templiers. L'obituaire de Reims fixe sa mort le 19 Janvier 1252.
THOMAS BERAUD (ou BERARD) - 1252/1273
Son magistère est marqué par la fin des Croisés en Terre Sainte. Sous sa maîtrise, les Templiers acquièrent la place de Sajette, le château de Beaufort en 1260, et en 1262 la place d'Arsuf. Ces places fortes sont reprises par les Musulmans en 1264 et 1268. En 1265, un troubadour templier lança son cri de désespoir «Ira et Dolor» face à la situation désespérée des Chrétiens de la Palestine réduits à s’enfermer dans les murs d’Acre. Engagé dans des querelles entre les Templiers et les Hospitaliers, Thomas Béraud aurait tenté d'établir des liens entres les deux Ordres. Fait prisonnier à la bataille de Saphet, il n'aurait obtenu sa libération qu'après avoir renié le Christ. La chronique signale sa mort le 25 Mars 1273.
GUILLAUME de BEAUJEU - 1273/1291
«Il fut mult gentilhomme, parent du roi de France ; fut mult large et libéral et fut le Temple en son temps mult honoré et redouté.» Originaire de la célèbre famille du Forez, et non de Bourgogne, Guillaume de Beaujeu est le dernier Maître à siéger en Terre Sainte durant toute sa maîtrise. Commandeur de l'Apulie, il se trouve en Terre Sainte lorsqu'il est élu le 13 mai 1273 à la tête du Temple. Assiégé dans Saint-Jean d'Acre, son héroïsme lui vaut le commandement de tous les défenseurs. Lors de la chute de la ville, il est mortellement blessé et prononçe ces mots : "Seigneurs, je ne peux plus car je suis mort, voyez le coup". Le reste des troupes se retire sur les vaisseaux pour gagner Chypre. Le patriarche de Jérusalem, Nicolas de Hanappe, et le Maître de l'Hôpital périssent noyés. Le lieutenant de St-Lazare trouve la mort.
THIBAUD GAUDIN (ou Moine GAUDINI) - 1291/1292
Grand Commandeur du Temple au moment de la mort de Guillaume de Beaujeu, ses exploits lui valent l’honneur d’être proclamé Maître du Temple sur la brèche même des remparts de Montmusart. Il prend le commandement des troupes restantes et se retire à Sidon. Ne voyant aucune issue, il s'embarque avec ce qui reste des frères de l'Ordre, les archives et les vases sacrés, et se retire au château de Sagette où il est élu Grand Maître au mois d'Août 1291. Son magistère est de courte durée puisqu'en 1293 il est remplacé par Jacques de Molay. L'obituaire de Reims signale sa mort le 16 Avril 1292.
JACQUES de MOLAY - 1292/1314
Originaire de la maison de Longwy et de Raon de Franche Comté, il est élu Maître du Temple à la fin de 1292. En Janvier 1293, il figure à ce titre dans un acte concernant l'île de Chypre. Il mène encore, avec ses Templiers, une lutte désespérée contre les Infidèles. Il est accusé, emprisonné, torturé. Avec sa mort l'Ordre du Temple historique s'éteind. Naît alors le Temple spirituel.
Sur le bûcher et selon la tradition, il se serait écrié : "Pape Clément, roi Philippe, avant que l'année ne soit écoulée, je vous assigne au tribunal de Dieu."
JACQUES de MOLAY assure LA SUCCESSION occulte de l'ORDRE DU TEMPLE par la CHARTE DE LARMENIUS.
700 ans après, l'ORDO SUPREMUS MILITARIS TEMPLI HIEROSOLYMITANI en est la plus notable résurgence.

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Gonfanon Baussant - OSMTH FRANCE

LA CROIX PATEE, autre symbole de l’ORDRE DU TEMPLE.
Celui qui ne respectait pas LA REGLE DU TEMPLE concernant le GONFANON BAUSSANT risquait les fers ou était renvoyé de l’Ordre.

A noter que la Règle interdisait aux Templiers d’avoir un écu représentant un emblème héraldique.

L'ORDO SUPREMUS MILITARIS TEMPLI HIEROSOLYMITANI, successeur de l'ORDRE DU TEMPLE en France et dans le Monde, a repris le symbole du GONFANON BAUSSANT ARGENT ET SABLE enrichi de LA CROIX PATEE.

Si les règles se sont adoucies dans la forme pour s'adapter à la vie moderne, le Baussant inspire aujourd'hui amour et respect car il est le symbole du rassemblement des hommes et des femmes partageant L'IDEAL DE LA CHEVALERIE.

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